VIème Week-End Jeunes Réalisateurs

 

 

 

6ème Week-End des jeunes Réalisateurs

Animé par Alain Riou, critique au « Nouvel Observateur », au « Masque et la plume » et au « Cercle« 

Chers Cramés bonsoir,
Cette page vous est dédiée, qu’avez-vous pensé de ce WE ? merci de nous le dire.

                                   Amitiés

-On peut déjà voir un premier commentaire de Marie sur « CESSEZ LE FEU »

3 réflexions au sujet de « VIème Week-End Jeunes Réalisateurs »

  1. Quelle chance d’avoir les Cramés et de pouvoir partir en Week End Jeunes Réalisateurs !
    J’ai adoré y être. Et j’ai adoré voir ces films, qui m’ont plu un peu, beaucoup mais jamais pas du tout.
    De façon générale, même quand un film proposé par les Cramés ne me plait pas, il me plait quand même parce que ça me plait de l’avoir vu.

  2. Tous ces beaux films que nous pouvons voir grâce à ces journées des jeunes réalisateurs. Il en est des bons films comme de la bonne musique (en CD) où des bons livres, il faut saisir l’instant de leur sortie.Ils sont passés par ici, il ne repasseront pas par là. Alors 2017? un excellent cru! le cinéma c’est magique, 7 films, 7 occasions de bonheur.
    Ils sont passés par ici, il ne repasseront pas par là, alors nommons les pour le plaisir : poétique « Drôles d’oiseaux », mystique « la Papesse Jeanne » qui a désormais un visage et quel visage, transgressif « cigarettes et chocolat chaud », punch de nous nous marierons, errance de jours de France, « corporate » prenant comme Z autrefois, enfin cessez le feu, qui est en réalité le feu d’artifice de ces journées. Quelle chance!

  3. CESSEZ LE FEU

    1923 : deux frères qui ont vécu Verdun affrontent la vie, chacun avec les séquelles imposées par l’horreur des tranchées. Visibles chez l’un, cachées chez l’autre. L’un n’osant plus parler, aimer, rattrapé par son cauchemar alors que l’espoir renaissait pour lui. L’autre, « l’homme fort », essaie de fuir ses fantômes dans l’aventure et la réussite, mu par la colère et un puissant désir de vivre encore. Il y a aussi celui qui fait de son épreuve une épopée à la gloire de son capitaine…
    Personne n’est exempt de souffrance ; ceux qui sont revenus mais aussi leurs proches, épouses ou mères, qui ont le sentiment de les avoir, malgré leur retour, perdus ; essayant de réparer, de continuer à vivre dans l’amour et la paix. Céline Sallette incarne avec justesse ce dilemme, entre épouse et soignante. Grégory Gadebois est bouleversant dans le rôle d’homme cassé, colosse placide et résigné ; Romain Duris toujours convaincant dans celui d’homme fragile et fort à la fois.
    Emmanuel Courson réalise un film émouvant, qui, en échappant aux clichés, permet un regard original et différent sur ce sujet maintes fois traité. L’émotion est à vif, d’un bout à l’autre.

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